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Hola! chers lecteurs, je suis Lolita, journaliste à News Tango Amis.

Dans l’Antiquité,  les journalistes étaient des crieurs qui annonçaient les événements locaux et relayaient les informations transmises par les messagers.

Journaliste indépendante, j’aime la vie, la littérature, l’écriture et le Tango… Curieuse dans bon nombre de domaines de la vie, j’aime regarder, écouter, échanger, apprendre des personnes qui gravitent autour de ma sphère culturelle. En posant « mes mots sur le papier », je me livre à vous avec sincérité, à cœur ouvert, vous transmettant mes sentiments, mes idées et mes infos sur le monde du Tango Argentin et de sa magnifique et sensuelle danse.

Jamais caustique, ni vulgaire dans mes chroniques, toujours bienveillante, la plus objective possible et une honnêteté avec moi-même comme avec vous, chers lecteurs, elles sont le reflet de ma personnalité. Merci de prendre le temps de les lire, pour suivre ma vie de Tanguera, comme de journaliste à « News Tango Amis »

Hasta pronto y musicalmente Tango.

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Keyboard and Mouse

La Chronique du Mois

Le Tango Argentin, un microcosme. Par Lolita,

 

Certains Tangueros découvrent cette magnifique et sensuelle danse, par hasard,  par curiosité ou suite à des relations autour d’eux. Pour les professionnels du milieu artistique, le Tango est aussi le besoin d’élargir leurs compétences et de développer une autre facette de leur vie de danseurs classiques, contemporains, folkloriques, modernes ou de salon. Chacun de nous, peut trouver sa place dans le monde du Tango Argentin, si une nouvelle expérience le motive, les amateurs comme les professionnels. Chacun de nous, à un moment de sa vie aura le désir, une profonde aspiration voire vitale pour certains, de libérer son corps, en le laissant s’exprimer au gré de ses propres émotions avec sa ou son partenaire de l’instant présent, d’un jour ou d’une vie.

 

Le Tango Argentin, une nouvelle vie, une philosophie, avec ses codes, et aussi ses difficultés d’apprentissage pour acquérir de bonnes bases, vite mises en application et parfois vite oubliées, si nous pensons que nos acquis suffisent. Car comme Lolita ne le répétera jamais assez. Dans le Tango Argentin, nous sommes et nous serons toujours des éternels débutants. Néanmoins, Le Tango Argentin ne passe pas uniquement par la danse, il passe aussi par cet indicible plaisir d’échanger avec ses partenaires après une Tanda,  et pas seulement de partenaire le temps d’une Tanda. Le Tango Argentin est devenu au fil des décennies une danse où nous rencontrons un niveau social diversifié, enrichissant avec tout ce qu’apporte le mélange de la culture comme des cultures. Chacun peut amener à l’autre sa propre culture de la danse Tango comme de la vie, lors des Practicas, Milongas, dans les cours ou les stages.

 

Le Tango Argentin, un microcosme à lui seul, à l’instar d’une ruche où au lieu de butiner de fleur en fleur, pour nourrir leur reine, les abeilles font leur « Mirada » pour devenir Reine, le temps d’une Tanda, dans les bras de leur partenaire. Pendant que ces messieurs les bourdons répondent par leur « Cabeceo » les invitant également au partage des émotions corporelles que procure la danse Tango.  Personne n’a l’éternité pour se réaliser, alors Lolita aime vous offrir avec ses mots posés sur le papier des petits instants de bonheur. Vous aussi, profitez pleinement de tous vos petits moments de plaisir avec délectation, comme si vous croquiez dans un fruit, qui n’est pas défendu, sans vouloir en chercher plus, que le bien-être de l’instant présent. Le Tango Argentin, une Vie avec son langage caché de l’âme à découvrir assurément.

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Chroniques  2021

AMOUR TANGO

Tango, Tango quand tu nous tiens, nous ne voulons plus te laisser nous échapper, tant bouleversés nous sommes par ta pureté.

Comme une liane, tu nous étreins de tes bras, pour mieux nous emporter dans le monde de la volupté.

Comme une libellule, tu nous transmets la légèreté du mouvement, restant bien ancrés dans le sol pour marcher avec virtuosité.

Comme un poète, tu nous racontes les histoires de la vie à travers ta musique et tes sonorités exotiques venues de lointaines contrées.

Tango, Tango, le Bandonéon ton instrument favori et d’autres aussi, tu les maîtrises à la perfection pour nous mener vers une jouissance musicale.

La voix de tes chanteurs aux paroles sensuelles et aussi cruelles nous enivre de ses émotions.

Tango, Tango, tu es notre vie, tu es notre inspiration, tu es le lien d’un amour parfois malmené par la vie. Tu es l’enfant tant espéré qui, dès ses premiers cris marque son identité.

Tango, Tango, comme tu nous as manqués pendant ces longs mois, où bridés, isolés nous étions. Ne plus pouvoir te toucher, te ressentir, admirer ta beauté. Mais, quel sort a été jeté sur ce monde bien trop agité !

Tango, Tango, seule, ta musique et quelques pas dans l’intimité nous ont sauvés des flots, tellement frustrés nous étions sans ton élixir de jouvence.

Tango, Tango, enfin ! Tu nous reviens pour magnifier à nouveau nos deux corps, nos deux cœurs pour en faire une seule âme.

Tango, Tango, surtout ne nous quitte pas, car nous mourrions de tristesse, d’être de nouveau abandonnés.

Tango, Tango, nous t’aimons…

LOLITA

 

 

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Roxana MOLINIÉ, danseuse de Tango, à Montréal (Canada) raconte : « Les corps sont un même espace traversé par le mouvement. Les danseurs sont l’un avec l’autre, totalement occupés, l’homme à guider la femme et la femme à percevoir « la marca » de son partenaire et à faire le mouvement. Ainsi, les deux corps du couple garantissent le mouvement vital du couple, oui, Vital ! Car s’ils ne sont pas ensemble, il n’y a pas de couple et le Tango n’a pas lieu ».

 

 

 

 

LA MILONGA UN LIEU OÚ L’ON DANSE

La Milonga, un lieu où les personnes passent un bon moment de danse, de plaisir et de convivialité. La milonga, l’endroit où beaucoup de danseurs se réunissent, et bien souvent dans un espace restreint. Alors, danser le Tango Argentin, c’est d’abord écouter la musique proposée par l’orchestre ou/et le DJ. Les danseurs perçoivent la musique dans les oreilles puis la retranscrivent à travers les mouvements du corps pour être le plus possible en symbiose. De fait, s’abstenir de tout échange verbal pendant la Tanda est essentiel pour se concentrer sur la musique et la danse. Alors, mieux vaut bavarder tranquillement en dehors de la piste. Bien souvent des lieux de convivialité sont mis à la disposition des danseurs pour les pauses Tango, où les rafraichissements les attendent.

 

La Milonga, un lieu de cours. Que nenni ! Pas du tout ! Il est fort déplaisant de voir un danseur donner un cours  à sa partenaire, cours au demeurant dont rien ne permet de penser qu’il est de qualité. De plus, la fluidité du bal doit rester la priorité de tous les danseurs, comme la sobriété de la danse, souvent plus appréciée des danseuses que « les pseudos cours » ou « prouesses » de certains d’entre eux. Et, encore plus, quand la densité est élevée. Certes, on peut trouver du plaisir à s’imaginer être le meilleur, à exécuter des figures compliquées, à occuper le plus de piste possible, et parfois même à bousculer ses voisins. Toutefois, nous aimons tous danser le mieux possible et avec passion. De plus,  nous  nous donnons du mal à apprendre cette magnifique et très technique danse. De fait,  il est essentiel de contribuer à  l’harmonie des couples dans les Milongas en évitant les figures spacieuses,  tels ganchos, boléos en hauteur.... Marcher ensemble, sereinement et en musique est un plaisir indicible pour Lolita et son danseur Luis. Très régulièrement au début d’une Milonga, lorsque la piste de danse est fluide, la marche est leur meilleur allié pour bien se connecter. 

 

La Milonga est un lieu où les musiciens ou/et DJ’S officient avec passion et concentration. Alors, danser le Tango c’est respecter la musique proposée par l’orchestre et de plus en plus aujourd’hui par le DJ. Son rôle est difficile et aussi primordial pour la qualité de la Milonga. Toujours en ligne de mire, son choix musical pour la soirée doit permettre aux danseurs de s’approprier pleinement ce moment festif. Pour lui, une soirée peut être une expérience inoubliable comme un échec total. Le public des milongas est très varié, un mélange de médecins, chauffeurs de taxi, avocats, employés de bureau, étudiants, retraités… qui sont tous là pour danser. Certains apprécient la musique quelle qu’elle soit. Pour d’autres, c’est un élément essentiel. Pourtant, il y a des personnes qui dansent depuis longtemps et ne connaissent pas les orchestres. Bien souvent, ils n’en aiment qu’un et n’en démordent pas.  

 

Pour DJ Luis de Tarbes, non professionnel, musicaliser une Milonga sans les quatre papas du Tango (Carlos Di Sarli, Osvaldo Pugliesse, Juan D’Arienzo et Anibal Troilo) les célèbres compositeurs et Chefs d’orchestre, serait inconcevable pour lui. Et, s’il ne les passe pas, il y a un manque dans la soirée.  Cependant, d’autres grands noms font partie des élites de la musique Tango, entre autres : Osvaldo Fresedo avec un répertoire  débutant les années 20 aux années 80. Sa carrière exceptionnelle a considérablement modifié son style passant du Tango le plus traditionnel au Tango moderne, libéré de toute  contrainte esthétique. Ou bien, Alfredo De Angelis allant des années 40 aux années 80, avec un style régulier, une harmonie et une originalité dans sa musique vocale. Il s’est inscrit dans la continuité sans vouloir changer de style avec néanmoins aucune monotonie pour les danseurs. Bref, vous l’avez compris, tous les orchestres  dont certains accompagnés de leur chanteur avec leur bel instrument naturel ont leur place et les honneurs dans les Milongas de DJ Luis. Alors, de la musique à la danse, voilà l’autre couple du Tango Argentin.

 

 

LES CONTROVERSES DU TANGO.

Le 21 décembre 1913 le Petit Journal Illustré (quotidien Parisien édité de 1863 à 1949) montrait la photo d’une démonstration de Tango (style de l’époque) devant les autorités allemandes, ayant pour rôle de leur permettre d’apprécier le caractère « dangereux » de cette danse toute nouvelle en Europe, fortement critiquée comme attentatoire aux mœurs ou subversive. Bien plus tard, le Tango sera encore interdit en Argentine, son berceau. Même si ce journal se déclarait apolitique, son esprit républicain et conservateur en faisait à l’époque l’un des quatre plus grands quotidiens en France à l’influence notable.

Déjà à partir de 1907,  danser le Tango c’était danser avec le sexe. Le premier cycle de diffusion internationale du Tango, dans les années immédiatement antérieures à la Grande Guerre, eu Paris pour épicentre et les milieux aristocratiques et mondains comme lieu privilégié. Un fort engouement pour la « nouvelle danse » s’ensuivit, qu’on appelle à l’époque « Tangomanie ». Naissent avec elle, des polémiques opposant partisans et adversaires d’une danse venue d’ailleurs et étiquetée pour certains, aux accents excessivement sensuels. C’est ainsi en tout cas qu’elle est perçue, au croisement de deux axes de réception principaux : érotisme et exotisme. 

Les années 1912-1913- 1914 confirmerons cette danse novatrice et déstabilisante pour une certaine caste de la société, touchant pour eux, aux valeurs chrétiennes et républicaines. De plus, la presse au quotidien rendait compte des goûts de ces nouveaux danseurs avec une objectivité toute relative et parfois même, une délectation pernicieuse dans  les commentaires. Toutefois, le Tango fait fureur et son ascension va au fil des années dépasser les frontières parisiennes et s’élargir à tout le territoire. On ne dit plus « Dansez-vous » mais « Tanguez-vous ».  Néanmoins, le Tango a quand même une particularité, c’est qu’il est obsédant, pas seulement que tout le monde en parle à cette époque, mais aussi parce que chez les gens qui le dansent ou qui aspirent à le danser, l’obsession se manifeste singulièrement grave voire quasi morbide. Aujourd’hui, le Tango Argentin dont l’émotion passe à travers les corps et le ressenti de la musique est une danse de société.  Néanmoins, dans l’évolution de nos mœurs, qu’adviendra t-il du Tango dans le futur. Serait-il encore dansé ou sera t-il un jour prohibé…

 

 

Le Tango Argentin,  danse d’élite ou danse populaire.

Pour Lolita et Luis, le Tango Argentin est avant tout une danse difficile, si nous la  comparons aux autres danses de société, tel, le Tango Français maîtrisé depuis de nombreuses années, avant de nous lancer à la découverte du Tango Argentin.

En majorité, les danses de sociétés sont  basées sur un ensemble de figures mémorisées au fil des années.  De fait, à nos débuts dans le Tango Argentin, se retrouver face aux différents styles de musique Tango et à une danse d’improvisation n’a pas été facile, tellement habitués à nos automatismes et aux différentes variations apprises dans les danses de société.

De plus, les positions de départ du Tango Français et du Tango Argentin sont diamétralement opposées. Pour le premier, le point de contact important au niveau du corps (la connexion) se situe au bassin. Sans oublier, de dégager le haut du corps, épaules bien ouvertes pour ne pas se retrouver l’un sur l’autre. 

Dans le Tango Argentin, le point de contact important au niveau du corps (la connexion) se situe au sternum, connexion essentielle pour ressentir les mouvements dans l’improvisation de la danse et le guidage par le danseur. Difficile donc de passer du jour au lendemain, d’une position ouverte (en tulipe) à une position plus fermée, tout en maintenant les épaules droites. Ne pas oublier de gainer en permanence le ventre, pour éviter de nous dandiner comme dans d’autres danses. 

Alors, après avoir intégré les bases du Tango Argentin (Abrazo, connexion, marche…), nous avons travaillé plus en profondeur la technique nécessitant régulièrement un travail personnel par des cours ou/et individuels.  Aujourd’hui, notre style est proche de celui des danseurs « Milonguero » (abrazo fermé). Cet abrazo nous aide à ressentir plus intensément les vibrations de nos deux corps pour les transmettre à l’autre et ne faire plus qu’un au fil de la danse. Parfois, certains danseurs ont tendance à opposer les différents styles de la danse Tango. Ils les classifient dans deux catégories : l’un dit sportif, (abrazo ouvert). Tango plus dynamique et  donnant plus de possibilités dans les mouvements et l’autre, l’authentique (abrazo fermé) certes, limitant un peu plus les mouvements dans leurs ampleurs, mais véhiculant plus notre personnalité, notre état d’âme. Toutefois, ayant un esprit ouvert, ils nous arrivent aussi de combiner ces deux Tangos, tel le Tango Nuevo, créé dans les années 1960 par Astor Piazzolla.

Toutefois, nous affectionnons les Tangos au rythme musical lent, certes plus difficiles à danser, mais qui correspondent mieux à nos deux personnalités fusionnelles dans la vie comme dans la danse avec une sensualité à fleur de peau. De fait, nous dansons, nous respirons la musique comme la danse et nous ressentons le Tango, comme l’histoire d’une vie, où l’amour, la trahison, la haine parfois la mort se côtoient avec passion, déception et violence. 

Dans Terrain, revue d'anthropologie et de sciences humaines, disponible sur le portail Open Edition Journal, Julie Taylor rédige un passionnant article sur son approche du Tango Argentin : «  le Tango Argentin éclaire les relations de l’art à la passion et parfois jusqu’à la violence. La danse manifeste les potentialités que possède l’art de mettre en scène des histoires de la vie, de les réinscrire ou de les rejouer. Dans sa pratique, le tango suscite des débats sur la violence entre ses partenaires eux-mêmes, comme dans la vie.  Le Tango fait aussi nous remémorer certaines belles choses de la vie. De fait, cette danse et ses chants, avec tout ce qu’ils reflètent, créent un espace de réflexion sur notre vie. Il démontre la noblesse de l’esprit humain qui malgré certaines souffrances continue à danser pour essayer d’oublier ».

Le Tango Argentin, ne se limite pas à une affaire d’élitisme ou de popularité, car il n’y  a pas de limite dans sa découverte. Le Tango Argentin est la danse du cœur et de la vie. Alors,  à chacun son Tango pourvu que le plaisir soit au rendez-vous, pour chacun d’entre nous…

 

À CHACUN SON RÔLE DANS LE TANGO.

Dans le Tango Argentin, chaque danseur a un rôle essentiel pour atteindre le  plaisir intense, le vivre ensemble  dans l’harmonie et la fluidité. De fait, Lolita, aborde une nouvelle fois, la connexion. Qu’on l’appelle, abrazo fermé, de contact, ou  « Milonguero » il est une aide précieuse pour bien se synchroniser au tempo de la musique, par de petits et doux balancements autour de l’axe vertical du couple.  Néanmoins, que nous dansions en abrazo fermé ou ouvert,  chacun doit être présent pour ressentir la connexion, en apportant à l’autre une certaine fermeté, sans contraction, ni pugnacité gestuelle (mains trop serrées, mouvements trop brusques…). La connexion dans l’abrazo, c’est aussi offrir à son partenaire, une empreinte de bonté et de douceur tout au long de la danse. A cet effet, l’homme propose à la femme un appui et non une béquille. Trop d’appui de la femme  va desservir tous déplacements légers et souples du couple et limiter considérablement les mouvements. Toutefois, l’appui, n’est pas figé et va être déplacé en fonction du mouvement que l’homme souhaite obtenir par la conduite et le guidage de la femme. Pour vous Messieurs, vos déplacements viennent des épaules et non des bras et l’angle formé doit rester quasiment constant. Pour vous Mesdames, il faut prendre juste ce qu’il faut dans l’appui pour le peaufiner et obtenir votre équilibre et le maintenir tout au long de la danse.  Et pour les deux,  conserver le  gainage de l’abdomen est idéal pour bien créer, un espace suffisant entre vous, qui va  faciliter les mouvements et les déplacements des membres inférieurs.

Et, quand la connexion est établie,  elle reste maintenue, comme le face à face  au niveau des épaules entre les deux danseurs. Cependant, dans certains mouvements, le jeu de l’homme est parfois de fuir ce face à face. Oui, mais en douceur, sans brusquerie pour éviter de rompre la connexion. L’essentiel pour la femme est de chercher à toujours revenir face à son danseur (l’homme est l’encadrement de la porte et la femme est la porte).  Il n’est jamais simple de mettre en pratique toutes les recommandations de Lolita, comme de les exprimer avec des mots. Néanmoins, la connexion est avant tout le ressenti de chacun, avec ses propres années d’apprentissage et de pratique. C’est pourquoi on ne danse pas le Tango, on le vit tout simplement. Et comme en amour, on n’est rien sans son partenaire.

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